C’est la journée internationale du bonheur !

Depuis 2013, l’Organisation des Nations Unies célèbre la Journée internationale du bonheur le 20 mars. Elle s’inscrit dans le Programme de développement durable, articulé autour de 17 objectifs. Cela parle de la nécessité d’adopter la croissance économique dans une optique plus large, plus équitable et plus équilibrée, qui favorise le bonheur et le bien-être de tous les peuples.
 
Même si la quête du bonheur est constante, 1 jour dans l’année est dédié à célébrer et souligner le bonheur sous toutes ses formes. Une manière de se rappeler de prendre soin de soi et des autres. En savoir + sur la Journée Mondiale du Bonheur : https://lnkd.in/epxfYVC
 
Clin d’œil de l’éphéméride, la fête du bonheur tombe un dimanche. Un jour qui n’est ouvré que pour une partie d’entre nous.
 
Le sujet du bonheur au travail fait couler beaucoup d’encre. Oxymore ou défi contemporain, les controverses sont nombreuses. Le bonheur au travail consisterait à prospérer en tant qu’individus tout en travaillant avec succès en équipe. En rappelant que chacun de nous fait une expérience subjective de la vie (en général, et au travail en particulier), et a des déterminants différents de son bonheur.
 
Du côté de Wunjo, nous pensons que s’intéresser au bonheur n’est pas une considération mièvre et sentimentale. L’entreprise qui mise sur l’augmentation du bonheur peut à la fois augmenter son capital & son impact social et contribuer à la performance individuelle et collective.
Intéressez-vous au sujet du bonheur notamment avec la psychologie positive dans le cadre de votre approche Qualité de Vie au Travail. Elle ouvre un changement de paradigme dans la manière d’envisager le capital humain.

Rappelons que le bonheur au travail ne va pas croissant uniquement en fonction du statut et du niveau de salaire. Les composantes majeures remontées par les études sont :
Être traité équitablement et avec respect (50,5%)
Le sentiment d’accomplissement (49,2%)
La fierté d’appartenir à l’entreprise (48,6%)
L’intérêt du poste (46,1%)
… En langage QVT, cela parle de qualité de relations et de capacité pour le travail à être intéressant et plein de sens.

Rappelons pour finir que l’état d’être d’un individu-travailleur relève de la responsabilité de tous, aussi bien de lui-même, que de son entourage professionnel et de son Entreprise.

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Le sentiment d’appartenance, socle de la performance sociale et opérationnelle

Voilà déjà 2 mois que nous étions à Grenoble dans une entreprise du groupe VINCI Energies pour animer une « causerie QVT » sur le sujet du sentiment d’appartenance.
 
Dans un contexte extrêmement mouvant à l’extérieur, au sein d’un groupe où les choses se transforment, alors que les Femmes & les Hommes évoluent plus vite que jamais… Il est fondamental de prendre le temps de se poser quelques instants sur le besoin fondamental de l’être humain qu’est le sentiment d’appartenance.
 
– Où en est-on ? Faisons un état des lieux. Est-ce que je me sens faire partie de mon équipe ? Suis-je fier.ère de mon entreprise ? 
– En quoi est-ce un sujet important pour chacun.e de nous ? Qu’est-ce qui fonctionne mieux quand on se sent à sa place, partie prenante, reconnu.e ?
– Comment cultive t’on la cohésion sociale ? Quelles sont les bonnes pratiques ? Que pourrait-on mieux faire ? Qui a particulièrement besoin d’être mieux inclus ?
 
Le dirigeant a impulsé la démarche, de concert avec les IRP et managers, parce qu’en 2022, la QVT intègre le plan stratégique. Et que pour démarrer, rien de tel que d’associer immédiatement le personnel, et traiter le sujet n°1 pour tout le monde.
 
« On parle du travail, mais sur un autre plan » L’ensemble des collaborateurs.trices était réuni, pour une séquence bien différente des habituelles réunions du personnel. 
 
« Une formation où l’on a appris des concepts », « pris de la hauteur sur soi », « pris le temps de poser un regard sur le vécu de l’autre », « compris ce qui peut faire la différence dans le quotidien de certains », « mis de l’émotionnel dans le travail ».
 
Un temps pédagogique avec pour bénéfice secondaire le team bonding.
 
Encore une expérience qui nous fait dire que le format des « causeries QVT » est magique ! Peu chronophage, puissant en émotions, vecteur de transformations comportementales… Accessible à tous, impliquant chacun.e.

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Guerre en Ukraine : Comment rester concentré (et motivé) au bureau ?

Peut-on encore parler de période mouvementée, tant il semble que ce qualificatif soit prononcé chaque jour depuis 2 ans ?

L’actualité a un impact indéniable sur notre moral. Et comme nous ne sommes pas « 2 personnes », il joue sur notre façon de vivre et de voir la vie aussi dans la sphère professionnelle.

Le conflit en Ukraine semble avoir pris le relai sur l’ère Covid, et en ressenti, appuyer encore plus fort sur les peurs, notamment les plus profondes de l’être humain.

Doit-on parler de la guerre en Ukraine avec ses collègues ? Comment ne pas se demander si sa mission ou sa tâche à l’instant T au travail a encore du sens dans un contexte international aussi chamboulé ? Faut-il s’en détacher ou au contraire s’impliquer ? …

Tant de questions que les Echos START sont venus poser à Emmanuelle Bessez, en tant que spécialiste en qualité de vie au travail.

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Développer le capital humain

Nous avons eu plusieurs conversations ces derniers jours sur le sujet de la formation, suite à notre audit Qualiopi qui va nous hisser dans la famille des Organismes de Formation « reconnus ».

A chaque fois, la même demande : « Quelles formations proposez-vous ? » Et la même réaction, lorsque nous démarrons par parler de nos offres pour les collaborateurs.trices. Car il y a un sous-entendu dans la question initiale « Quelles formations proposez-vous … pour nos DIRIGEANTS ET MANAGERS ? »

La formation professionnelle continue a longtemps été réservée aux cols blancs. Comme si la compétence ne devait être développée que chez ceux qui décident et encadrent. Les « autres », on les fait former sur les savoir-faire, on leur fait suivre des formations – métier avec un goût d’obligation et d’exigence d’opérationalité. Avec rarement une vision prévisionnelle des besoins, et encore plus rarement l’écoute des envies.

L’ère Covid a sans doute ça de bon (il faut bien qu’elle en ait un peu, à vrai dire) : les choses changent.

L’accélération des politiques santé-sécurité travail, les prises de conscience de l’enjeu du capital humain, la découverte de ce qu’apporte véritablement la QVT, la promotion des compétences comportementales… prônent pour un élargissement des actions de formation à l’ensemble du personnel.

Chez Wunjo, depuis le début, nous considérons les Travailleurs.ses dans leur ensemble. Chacun.e et tous.tes ont envie et besoin de se retrouver autour de sujets fédérateurs et sensibles. Les émotions sont dans l’entreprise, cela devient un fait.

Et lorsqu’un dirigeant ou un RH ouvre les vannes de la formation à l’ensemble du personnel, c’est gagnant. Pour le sentiment de reconnaissance, car il est valorisant de se voir proposée une « pause » de prise de hauteur et d’introspection. Pour l’engagement ainsi, et pour la performance individuelle… donc collective.

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causeries logo

Savez-vous ce qu’est une « causerie QVT » ?

Il s’agit d’un format innovant que nous avons façonné pour impulser l’esprit QVT dans l’Entreprise, avec l’ensemble des collaborateurs.trices.

De manière fidèle à la pratique QVT que sont les « espaces de discussion » (EDD), et s’inspirant des pratiques santé-sécurité au travail, les causeries QVT sont des ateliers ludo-pédagogiques qui ouvrent l’expression sur des thématiques précises identifiées par la direction / le comité QVT / les préventeurs internes.

Animées avec bienveillance et plaisir par des experts, accessibles à tous.tes, l’on y vit à la fois des prises de conscience, une montée en connaissances et compétences et un temps de cohésion sociale.

A l’issue, toujours le même résultat : l’envie des Travailleurs.ses de s’investir, pour leur propre Qualité de Vie au Travail et pour celle de leur entourage professionnel en faisant évoluer des comportements, des pratiques. Et ça, ça nous régale… car nous avons alors l’assurance de contribuer véritablement à faire progresser la QVT de chacun et de tous.tes !

Nous vous partagerons bientôt 2 retours d’expérience particulièrement parlants dans l’univers du bâtiment… un secteur qu’on a tendance à croire focalisé sur les risques physiques, mais dont certains acteurs ont l’ouverture d’esprit de considérer la dimension psychosociale dans la vie de leurs équipes.

Et au fait… Les Causeries QVT sont assimilables à de la formation professionnelle continue, nous savons porter le projet auprès des OPCO dans le respect du référentiel Qualiopi. 

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Les saltimbanques de la QVT ont encore frappé !

Enfin, frappé … les esprits 🙂
Nous avons soulevé le coeur parfois, fait saigner les oreilles souvent.
Et puis fait marrer, aussi… parce que si le sujet du bien-être au travail n’est pas funky, cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas en rire.

Mais avant tout, nous avons diffusé la bonne parole. C’est à ça que sert le théâtre pédagogique, … la théâtrothérapie. 

Car quand les coachs se mettent en mode artiste, cela donne 60 min de pièce de théâtre qui rappelle à quel point le monde du travail est composé des comportements de chacun.e… qui invite à la prise juste de responsabilité, pour que les relations soient plus fluides, que les corps ne s’épuisent pas, que la performance soit collective et durable.

Nous n’avions pas encore testé de représentation publique (merci à l’association « ça monte en bas »), puisque Bourrage Papier est habituellement réservé aux Entreprises qui abordent le sujet de la QVT en interne. Nous sommes enchantés de l’effet produit, de l’expérience vécue, et ce sont nos spectateurs qui en parlent mieux que nous… Un florilège de témoignages ponctue l’album photos souvenirs ci-dessous.

> Envie d’un format inédit pour sensibiliser vos équipes au sujet sociétal qu’est le bien-être au travail ? Contactez-nous !

> Lire l’article complet de La Dépêche du Midi.

> En savoir plus sur notre prestation de théâtre débat en entreprise : 

De l’aide gratuite pour tous ceux qui se sentent en détresse psychologique

La ligne 3114 est un numéro de téléphone gratuit, accessible 24H/24 et 7j/7 permettant de répondre aux besoins immédiats des personnes qui se sentent en situation d’épuisement professionnel.

Partout en France, la ligne 3114 permet de répondre aux besoins immédiats des personnes qui ont besoin d’être écoutées, soutenues.

Si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas !
Une solution à faire connaître au plus grand nombre.

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« J’ai tendance à procrastiner : c’est grave ? »

Cet article intervient en complémentarité avec l’article paru sur Le Figaro le 28 novembre 2021.

De prime abord, la procrastination a l’air d’un sujet un peu léger. En fait, il mérite qu’on s’y intéresse car non seulement le mot est sur des bouches de plus en plus nombreuses, mais lorsque l’on l’entend, il est vécu comme un symptôme, la personne concernée s’en sentantvictime. Derrière le constat de la procrastination, vient vite la culpabilité. Celle de ne pas faire immédiatement ce qu’il y a à faire.

Alors si c’est un phénomène collectif ET générateur de souffrance, c’est un sujet sociétal.

Chez Wunjo on écoute et on s’intéresse à tout ce qui peut fabriquer du mal-être au travail. Et si l’on parle beaucoup d’environnement pathogène, de conditions de travail délétères, de management pas suffisamment bienveillant… On voit et on sait aussi que les travailleurs sont très forts pour se faire mal tous seuls. Car il nous semble que la plupart des procrastinations sont constatées et déplorées par la personne concernée que par son management…

Voici le point de vue de notre fondatrice, Emmanuelle BESSEZ, ses conseils pour accueillir, gérer et prévenir la procrastination. 

Conseil 1 – Vérifiez que ce que vous faites s’appelle bien de la procrastination.

Rappelons la définition : « c’est l’acte de différer une tâche », de la « remettre au lendemain » (ou à dans 5 minutes !).

Alors posez-vous la question : est-ce que ce que vous êtes en train d’ajourner était vraiment urgent, c’est-à-dire programmé à « maintenant » ? Il faut distinguer l’urgent de l’important. 

Temporiser l’appel à un prospect n’est pas la même chose que reculer son arrivée en réunion ou de laisser une collègue en difficulté attendre votre aide… 

Faisons d’abord des distinctions pour ne pas tout prendre pour des actes de procrastination. Ne nous laissons pas submerger par le culte de l’immédiateté et l’ultra-exigence de la réactivité.

2e conseil :

Si je procrastine vraiment, demandez-vous si c’est grave. 

Est-ce un vrai problème ? Objectivement parlant. Quelles sont les conséquences ? Les impacts pour moi et pour mon entourage professionnel ?

S’ils sont très raisonnables, que votre procrastination n’est pas bien grave… alors ce n’est pas autant un sujet donc on relativise !

Si ce n’est pas le cas… alors il faut passer au 3e conseil.

Conseil 3 :

Je procrastine et ça craint. Je culpabilise très vite. Je me créé une pression supplémentaire, du stress. L’inverse de ce qui génère de la sérénité et de l’envie.

Alors on conseillera d’accueillir l’état de fait. Il n’y a pas l’énergie et l’envie ici et maintenant. Accepteé que c’est ce que votre corps demande à ce moment-là. Respirez et autorisez-vous. 

Conseil 4 (qui va avec le précédent !) :

Et si vous changiez de regard sur la procrastination ?

Est-ce que vous avez l’obligation d’être productif tout le temps ? Non… ou alors si c’est le cas, c’est une vue de l’esprit, l’être humain n’en est pas capable.

Et puis, est-ce que procrastiner maintenant peut vous permettre d’être très efficace tout à l’heure ? Certains sont câblés « urgence », savent donner le meilleur d’eux-mêmes uniquement dans le speed. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde.

Alors, si cela n’est pas votre cas et que vous procrastinez pas mal, allez vite au conseil 5. 

Conseil 5 :

Vous savez que vous procrastinez, et vous savez aussi que vous n’allez pas pouvoir procrastiner toute la journée. Alors pensez « équipe ». Evaluez avec vos collègues l’urgence de la tâche. 

Et prévenez-les de votre tendance à procrastiner : être dans la prévention évitera de contaminer votre entourage, de lui créer du stress. Pensez à les rassurer que la tâche sera faite quand même:) et dans le timing imparti. Et tenez votre engagement : il en va désormais de votre fiabilité.

Conseil 6 :

Il est temps d’aller regarder le problème. Plus exactement d’en comprendre la source. Pour quelle raison êtes-vous en train de déporter cette tâche ? C’est quoi votre problème avec elle ?

Clairement, on remet une activité à « quand on aura envie de s’y mettre ». La procrastination est une crise de l’envie. Du plaisir. Du moteur. De la motivation.

Donc posez-vous les questions qui suivent, et essayez d’y répondre honnêtement :

– qu’est-ce qui me déplaît dans cette tâche ? 

– comment puis-je diminuer cet inconfort ?

– et sur l’autre côté de la balance : qu’est ce qui me plaît dans cette tâche ? Où puis-je y trouver du plaisir ?

Parfois juste s’interroger permet de reconnecter l’énergie.

Et parfois il y a des problèmes plus profonds : la peur de l’échec ou de la difficulté, parfois (même si cela peut paraître fou !) la peur de la réussite. Ou encore la déconnexion au sens profond de l’action, celle qui donne des perspectives, de la visibilité, la sensation d’œuvrer dans quelque chose de plus grand que nous.

Conseil 7 :

Êtres de plaisir, nous pouvons être motivés ET détournés de notre concentration. Il y a de nombreuses sources de distraction qui peuvent cannibaliser notre attention donc notre temps. Smartphones qui bipent, réseaux sociaux qui clignotent… Cette addiction qui fait perdre la notion du temps, qui nous happe sur des flux indéfinis, qui sait capter notre attention, nourrir notre besoin de lien.

Là il s’agit de s’auto-reguler, d’être son propre « parent ». S’interdire d’ouvrir les fenêtres sur l’ordinateur, éloigner son téléphone. Ou alors se fixer un créneau d’usage raisonnable. Et c’est valable pour les pauses café…

Conseil 8 :

Organise-vous. Chacun a son rythme, et la modularité qui lui convient. Si vous connaisse votremode de fonctionnement, ce qui vous met en énergie, vous génère du plaisir, vous permet de trouver des ressources pour faire confortablement des efforts… alors, vous pourrez organiser votre planning. Par exemple : d’abord une tâche qui va vous « mettre en marche », aiguiser vos neurones. Puis une seconde qui sera plus cool. Puis la 3e, plus « challengeante ». 

Certains fonctionnent en mode effort-récompense. Alors à chaque tâche qui coûte, programmezjuste ensuite une activité qui fait kiffer.

Conseil 9 :

Si ça dure, qu’être en mode retard chronique nuit à votre productivité, à celle de votre entourage professionnel, de votre équipe. Et si vous en souffrez, même un peu… Alors considérez qu’agir c’est aussi s’exprimer. Nous vous conseillons d’en parler, d’oser dire ce qu’il se passe. Demander de l’accueil, des conseils, du soutien. Se rendre compte peut être qu’on n’est pas seuls à vivre ça. Expérimenter des solutions qui sont celles des autres, et apprendre sur soi.

Conseil 10 :

Et pour finir, il s’agit d’être honnête avec soi autant que possible. Si la procrastination perdure, s’amplifie, fait des dégâts… Il est alors temps de vous poser la question fondamentale du sens du job que vous exercez.

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Acteur de mon bien-être au travail

Une série de capsules vidéos afin de créer le débat dans vos équipes sur le sujet du bien-être au travail

Vous êtes dirigeant, manager, chef de projet, animateur d’une communauté ?
Nous avons conçu pour vous une série de capsules vidéos afin de créer le débat dans vos équipes sur le sujet du bien-être au travail.

Animez votre réunion par un temps de qualité sur une question de fond : “Ai-je le droit de me tromper ?”, “Que signifie être bienveillant envers l’autre au travail ?”, “Quel est le sens profond de notre métier ?” ….
Diffusez l’extrait vidéo de quelques minutes, écoutez les visions de vos collaborateurs, apprenez à mieux vous connaître, et faites la démonstration concrète de votre ouverture d’esprit et volonté de bien-vivre ensemble.

> Les 16 capsules vidéo libres d’usage sont référencées sur notre playlist Youtube

Bourrage Papier : Retour d’expérience

Nous avons eu le plaisir de jouer notre comédie pédagogique sur le bien-être au travail le 16 novembre à Toulouse pour 120 collaborateurs.trices de VINCI Energies France Industrie Ouest-Atlantique & Pacifique.

Une belle heure de représentation théâtrale, suivie d’un temps de partage avec le groupe sur les idées majeures véhiculées dans la pièce :
> L’impact de l’estime de soi dans nos postures relationnelles au travail : les rapports de pouvoir, la quête de reconnaissance et les scenarii du mal-être au travail qui en découlent
> Les difficultés de communication dans les interactions professionnelles : la capacité à être Présent, la place de l’écoute, l’empathie et l’expression émotionnelle
> Le rapport entre les sphères pro & perso de notre vie : la porosité de notre façon d’être, la contagion évidente, la conciliation des temps et de l’attention que l’on porte à chacune de ces parts de notre quotidien
> Les comportements des Travailleurs.ses : la bienveillance managériale, les déviances nées des peurs, les fuites et occasions de réagir et de reprendre soin de soi et des autres
> …

Si 40% ont déclaré avoir « vraiment apprécié », le même volume de participants recommande « à 100% ». 

Nous sommes heureux de contribuer à faire avancer la conscience de soi, l’envie d’être responsable, la quête permanente d’une vie professionnelle au maximum bienveillante.

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En organisant au sein de votre Entreprise une représentation de « Bourrage Papier », vous offrez à vos équipes un vrai bon moment, mais aussi un cadeau bourré d’enseignements sur Soi et sur l’Autre, et de clés pour améliorer l’expérience de la vie au Travail.

> En savoir plus sur notre prestation de théâtre débat en entreprise :