Une étude porteuse de solutions pour une santé positive

L’ Observatoire Spinoza (la branche recherche de la La Fabrique Spinoza) publie la 1ère étude scientifique sur les leviers à activer et optimiser pour développer la « santé positive » en adoptant une approche globale de la santé, une éthique « du prendre soin » (care) et des pratiques associées.
 
Les statistiques sont sans équivoque : la santé mentale des Français se dégrade, le taux de burn-out, les maladies chroniques, les troubles musculosquelettiques et les maladies civilisationnelles sont en hausse constante.

Dans cette étude poussée et ponctuée de chiffres et d’exemples, il est proposé une exploration des déterminants de santé sous-exploités, sous le double prisme de la science et de l’innovation pour que citoyens, professionnels et institutions s’engagent sur la voie d’une « santé positive ».

Si certains leviers de la santé sont bien connus comme l’alimentation, l’activité physique, le sommeil ou la vie sexuelle, d’autres tels que l’art, la nature, la ville, le travail méritent d’être mis en action. L’étude propose une lecture des enjeux et des solutions concrètes, individuelles et collectives, à mettre en œuvre.

> Lire l’étude

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Nous avons organisé une réflexion entre une vingtaine de contributeurs, consolidé de nombreux modèles scientifiques, de psychologie et de coaching.
Nous avons profité de l’expertise d’une DRH, d’un Dr en Psychologie et d’un Médecin spécialiste de la prévention santé – travail afin d’étudier les modèles du secteur et les questionnaires en découlant.

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De la bienveillance au travail … et en atelier sur le sujet !

Quel moment doux, heureux, sincère… que cet atelier intimiste vécu le 13/01/22 pour 6 membres de la Tribu « Inspire the change » de Anne Ferrier-Brassart

2 belles heures pour prendre le temps de regarder le sujet de la bienveillance au travail autrement.

Pour apprendre ce qui se cache derrière le mot et n’attend que d’être dévoilé.
Pour échanger sur les manières les plus sensibles et efficaces de prendre soin de soi, et de son entourage professionnel.
Pour confronter nos blessures, nos histoires, nos besoins, nos valeurs… qui influencent notre regard sur la vie au travail, et l’expérience que l’on en fait.

> Si vous souhaitez organiser un atelier, une conférence, une formation… sur le sujet de la bienveillance au travail, contactez-nous.

Ptit coup de promo pour finir >>>
Des « communautés » animés par des coachs pour les ‘jeunes entrepreneurs’, il y en a plein. Une tribu comme celle d’Anne est unique. Même en fin de journée, avec la fatigue, il y a une vibration de générosité, de présence à l’autre, qui donne envie de ne jamais raccrocher la visio. Vécu 2 fois pour vous 🙂
Alors si vous cherchez à avancer sur votre chemin d’entrepreunariat, à être entouré de ‘belles personnes’, ça se passe ici

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Pour sensibiliser vos équipes à la QVT, offrez-leur une parenthèse originale et puissante ! 
WUNJO vous proposons des conférences interactives, qui mêlent prise de parole didactique par un expert et techniques participatives.
Elles véhiculent des contenus qui touchent et impliquent le public, qui ressort avec des pistes concrètes de prise de soin de sa QVT.

WUNJO_QVT_ESS

Quand le secteur de l’ESS a lui aussi son offre QVT !

Nous vous en parlions fin novembre, l’information officielle vient de sortir : Wunjo est le partenaire de Coorace, la délégation nationale des Entreprises d’Utilité Sociale Territoriale, pour les prestations en Qualité de Vie au Travail.

Quand on a compris que la QVT n’est pas un collier d’actions, mais une culture d’Entreprise… Que « faire » de la QVT nourrit l’approche RSE… Que pour être performant économiquement, il FAUT prendre soin des collaborateurs.trices… Que l’Entreprise n’est pas là pour abîmer ses Hommes, mais leur offrir le contexte de leur épanouissement et l’opportunité de contribuer à une Mission…

Alors on a envie de plonger dans cet univers incroyablement passionnant, autant que complexe et profond. Et de s’y former, parce que sans culture QVT, pas d’action QVT cohérente, et concertée.

Wunjo lance un parcours de formation dédié aux structures de l’insertion par l’activité économique dans les prochains jours… Avec 8 SIAE archi-motivées pour progresser encore dans leur humanité.

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WUNJO a conçu, en partenariat avec Coorace, la délégation nationale des Entreprises d’Utilité Sociale Territoriale, le 1er parcours de formation dédié à la Qualité de Vie au Travail.

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Pas de long discours… straight-to-the-point !

A toi, patron
A toi, salarié
A toi, en recherche d’emploi
A toi, manager
A toi, managé
A toi, représentant du personnel
A toi, syndiqué
A toi, travailleur.se

Nous te souhaitons de savoir cultiver ta positivité pour faire de chacune des journées de 2022 une belle expérience de vie !

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WUNJO est une entreprise engagée
qui relève de l’Économie Sociale et Solidaire.
Nous militons pour une Entreprise durablement humaine et performante.

WUNJO et le Pacte du pouvoir de vivre

L’envie de démarrer l’année avec une prise de parole Politique.

Parce que nous sommes une Entreprise à Impact, qui s’engage pour améliorer le pouvoir de vivre de chaque Travailleur.se.

Parce que nous sommes un acteur de l’Economie Sociale et Solidaire, qui oeuvre pour replacer l’Humain au coeur du Travail. Pour réconcilier les objectifs intrinsèques de la performance Economique ET Sociale.

Alors, avant de vous souhaiter « officiellement », à chacun.e, nos voeux 2022… voici un peu de lecture militante sur les liens entre Wunjo et le Pacte du pouvoir de vivre.

Il existe (malheureusement) de grandes chances pour que vous ne connaissiez pas encore cette initiative citoyenne, portée par 60 structures de la société civile.

Nous ne pouvons que vous encourager
> à prendre un bain de positivité en visualisant leurs voeux aux candidats à l’élection présidentielle – un clin d’oeil qui en dit long
> et à consulter le site riche des 90 propositions politiques pour un modèle de société écologique et socialement plus juste.

Agissons, chacun et collectivement, pour « refaire Société » dans nos sociétés. Pour que le travail soit émancipateur. Chaque jour de 2022 et chaque jour d’après.

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WUNJO est une entreprise engagée
qui relève de l’Économie Sociale et Solidaire.
Nous militons pour une Entreprise durablement humaine et performante.

Le 4e Plan Santé au travail

Les lignes bougent en matière de santé – travail

Le 13/12/21 avait lieu la présentation du 4e Plan Santé au Travail, qui fixe la feuille de route en matière de santé au travail pour 2021-2025.
La priorité est donnée à la prévention, dans la continuité de l’ANI du 9 décembre 2020 et de la loi du 2 août 2021.

▶ Les objectifs :

#1 Réduire le nombre d’accidents du travail, y compris graves et mortels, auprès des publics les plus exposés, les jeunes et les intérimaires notamment.

#2 Permettre aux salariés ayant un problème de santé de garder un emploi.

#3 Aider les entreprises à prendre soin de la santé mentale de leurs collaborateurs.

#4 Prévenir les violences sexuelles et les agissements sexistes au travail.

#5 Aider les entreprises à mieux se préparer aux crises lorsqu’elles impliquent la santé des travailleurs.

> Pour en savoir plus

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Du lien entre Qualité de Vie au Travail et … qualité du travail !

En pleine phase de lancement d’une promotion inter-entreprises de formation à la QVT, nous sommes connectés à différents niveaux de maturité par rapport au sujet.

De grâce, nos prospects et clients ne sont que des Entreprises Humanistes, où l’envie de « prendre soin » des parties prenantes est au cœur de la culture et effective dans les décisions, actes et comportements du quotidien.

Clairement, ces Entreprises font toutes « de la QVT » sans en avoir posé le nom. Actrices responsables, elles sont engagées dans une démarche RSE.

L’écoute des motivations et attentes des futurs participants à notre parcours de formation permet de sonder le prisme de lecture de chacun.e : une variété impressionnante, à l’image de l’envergure de notre belle discipline !

S’il y a bien un angle qui n’est pas oublié, c’est que la QVT met la qualité du travail réalisé au cœur, et le borde de ses conditions d’exercice. Ce sont bien ces 2 aspects, interagissant en cercle vertueux, qui permettent d’analyser les pratiques et d’y trouver les actions de protection et d’amélioration.

La QVT, c’est « bien faire » son travail, et « y être bien ». Jamais l’un sans l’autre, si l’on s’inscrit dans une perspective humaine et durable de la vie au travail.

Merci à BENOIT SERRE pour cet article, et ce partage qui recentre le sujet et mène à la réflexion, notamment sur le besoin de perception de l’utilité du travail réalisé, et de la présence des ressources nécessaires pour le mener à bien.

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La QVT est un univers obscur et opaque pour la plupart des Travailleurs, et même des dirigeants, DRH et IRP. Il faut dire que la définition officielle fixe l’objectif plus que ne décrit le concept, et que sur le terrain, la QVT est bien souvent réduite à la mise en œuvre d’actions de bien-être.

Etre Ambassadeur de sa structure, kesako ?

Nous entendons la tendance grandissante de mettre en place des programmes Ambassadeurs afin que les collaborateurs.trices portent eux-même l’image de l’Entreprise qui les emploie.

Une pratique accélérée par le bon sens qui veut que personne ne peut mieux parler de son employeur que les travailleurs.ses eux-mêmes… mais aussi par les logiques websociales qui veulent que la visibilité sur les réseaux soit le bénéfice d’un rayonnement partagé… y contribuent également les pratiques de management participatif et de co-réalisation des plans d’actions, ou encore les encouragements des RH à contribuer à la marque-employeur…

Chez Coorace Occitanie, délégation régionale de la fédération nationale des acteurs de l’insertion par l’activité économique, figure ancestrale de l’ESS, l’ambition d’une visibilité accrue est donnée.
Car le projet politique est ambitieux et mérite d’être porté haut et fort et que le plaidoyer est un outil stratégique pour façonner la vision des plus hautes autorité en matière d’inclusion.
Car l’association a besoin de gagner en notoriété et de profiter au plus grand nombre.
Car chacune de ses parties prenantes aime voir sa fierté d’appartenance nourrie.

Nous avons eu le plaisir d’accompagner la démarche de réflexion sur le rôle de l’Administrateur en tant qu’Ambassadeur, et de co-construction du programme d’actions opérationnelles. Un temps de partage de qualité, d’une grande richesse, qui reconnecte encore et encore avec le sens derrière l’engagement, et contribue à gonfler la motivation à s’investir. Qui rappelle, s’il le fallait, que l’expérience positive que l’on fait de son travail donne envie de le faire savoir tant en interne qu’en externe.

Et chez vous, y a t’il des ambassadeurs naturels ? Avez-vous ressenti le besoin de structurer la démarche ?

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WUNJO a crée « InPulse », une offre de formations et de conférences systématiquement adaptées au contexte et aux objectifs spécifiques de nos clients, pour des profils ciblés ou mixtes, permettant
> de muscler la posture, le discours et les compétences comportementales des Leaders,
> et d’accompagner le portage le plus efficient de la culture & de la démarche QVT au sein de l’Entreprise.

« J’ai tendance à procrastiner : c’est grave ? »

Cet article intervient en complémentarité avec l’article paru sur Le Figaro le 28 novembre 2021.

De prime abord, la procrastination a l’air d’un sujet un peu léger. En fait, il mérite qu’on s’y intéresse car non seulement le mot est sur des bouches de plus en plus nombreuses, mais lorsque l’on l’entend, il est vécu comme un symptôme, la personne concernée s’en sentantvictime. Derrière le constat de la procrastination, vient vite la culpabilité. Celle de ne pas faire immédiatement ce qu’il y a à faire.

Alors si c’est un phénomène collectif ET générateur de souffrance, c’est un sujet sociétal.

Chez Wunjo on écoute et on s’intéresse à tout ce qui peut fabriquer du mal-être au travail. Et si l’on parle beaucoup d’environnement pathogène, de conditions de travail délétères, de management pas suffisamment bienveillant… On voit et on sait aussi que les travailleurs sont très forts pour se faire mal tous seuls. Car il nous semble que la plupart des procrastinations sont constatées et déplorées par la personne concernée que par son management…

Voici le point de vue de notre fondatrice, Emmanuelle BESSEZ, ses conseils pour accueillir, gérer et prévenir la procrastination. 

Conseil 1 – Vérifiez que ce que vous faites s’appelle bien de la procrastination.

Rappelons la définition : « c’est l’acte de différer une tâche », de la « remettre au lendemain » (ou à dans 5 minutes !).

Alors posez-vous la question : est-ce que ce que vous êtes en train d’ajourner était vraiment urgent, c’est-à-dire programmé à « maintenant » ? Il faut distinguer l’urgent de l’important. 

Temporiser l’appel à un prospect n’est pas la même chose que reculer son arrivée en réunion ou de laisser une collègue en difficulté attendre votre aide… 

Faisons d’abord des distinctions pour ne pas tout prendre pour des actes de procrastination. Ne nous laissons pas submerger par le culte de l’immédiateté et l’ultra-exigence de la réactivité.

2e conseil :

Si je procrastine vraiment, demandez-vous si c’est grave. 

Est-ce un vrai problème ? Objectivement parlant. Quelles sont les conséquences ? Les impacts pour moi et pour mon entourage professionnel ?

S’ils sont très raisonnables, que votre procrastination n’est pas bien grave… alors ce n’est pas autant un sujet donc on relativise !

Si ce n’est pas le cas… alors il faut passer au 3e conseil.

Conseil 3 :

Je procrastine et ça craint. Je culpabilise très vite. Je me créé une pression supplémentaire, du stress. L’inverse de ce qui génère de la sérénité et de l’envie.

Alors on conseillera d’accueillir l’état de fait. Il n’y a pas l’énergie et l’envie ici et maintenant. Accepteé que c’est ce que votre corps demande à ce moment-là. Respirez et autorisez-vous. 

Conseil 4 (qui va avec le précédent !) :

Et si vous changiez de regard sur la procrastination ?

Est-ce que vous avez l’obligation d’être productif tout le temps ? Non… ou alors si c’est le cas, c’est une vue de l’esprit, l’être humain n’en est pas capable.

Et puis, est-ce que procrastiner maintenant peut vous permettre d’être très efficace tout à l’heure ? Certains sont câblés « urgence », savent donner le meilleur d’eux-mêmes uniquement dans le speed. Mais ce n’est pas le cas de tout le monde.

Alors, si cela n’est pas votre cas et que vous procrastinez pas mal, allez vite au conseil 5. 

Conseil 5 :

Vous savez que vous procrastinez, et vous savez aussi que vous n’allez pas pouvoir procrastiner toute la journée. Alors pensez « équipe ». Evaluez avec vos collègues l’urgence de la tâche. 

Et prévenez-les de votre tendance à procrastiner : être dans la prévention évitera de contaminer votre entourage, de lui créer du stress. Pensez à les rassurer que la tâche sera faite quand même:) et dans le timing imparti. Et tenez votre engagement : il en va désormais de votre fiabilité.

Conseil 6 :

Il est temps d’aller regarder le problème. Plus exactement d’en comprendre la source. Pour quelle raison êtes-vous en train de déporter cette tâche ? C’est quoi votre problème avec elle ?

Clairement, on remet une activité à « quand on aura envie de s’y mettre ». La procrastination est une crise de l’envie. Du plaisir. Du moteur. De la motivation.

Donc posez-vous les questions qui suivent, et essayez d’y répondre honnêtement :

– qu’est-ce qui me déplaît dans cette tâche ? 

– comment puis-je diminuer cet inconfort ?

– et sur l’autre côté de la balance : qu’est ce qui me plaît dans cette tâche ? Où puis-je y trouver du plaisir ?

Parfois juste s’interroger permet de reconnecter l’énergie.

Et parfois il y a des problèmes plus profonds : la peur de l’échec ou de la difficulté, parfois (même si cela peut paraître fou !) la peur de la réussite. Ou encore la déconnexion au sens profond de l’action, celle qui donne des perspectives, de la visibilité, la sensation d’œuvrer dans quelque chose de plus grand que nous.

Conseil 7 :

Êtres de plaisir, nous pouvons être motivés ET détournés de notre concentration. Il y a de nombreuses sources de distraction qui peuvent cannibaliser notre attention donc notre temps. Smartphones qui bipent, réseaux sociaux qui clignotent… Cette addiction qui fait perdre la notion du temps, qui nous happe sur des flux indéfinis, qui sait capter notre attention, nourrir notre besoin de lien.

Là il s’agit de s’auto-reguler, d’être son propre « parent ». S’interdire d’ouvrir les fenêtres sur l’ordinateur, éloigner son téléphone. Ou alors se fixer un créneau d’usage raisonnable. Et c’est valable pour les pauses café…

Conseil 8 :

Organise-vous. Chacun a son rythme, et la modularité qui lui convient. Si vous connaisse votremode de fonctionnement, ce qui vous met en énergie, vous génère du plaisir, vous permet de trouver des ressources pour faire confortablement des efforts… alors, vous pourrez organiser votre planning. Par exemple : d’abord une tâche qui va vous « mettre en marche », aiguiser vos neurones. Puis une seconde qui sera plus cool. Puis la 3e, plus « challengeante ». 

Certains fonctionnent en mode effort-récompense. Alors à chaque tâche qui coûte, programmezjuste ensuite une activité qui fait kiffer.

Conseil 9 :

Si ça dure, qu’être en mode retard chronique nuit à votre productivité, à celle de votre entourage professionnel, de votre équipe. Et si vous en souffrez, même un peu… Alors considérez qu’agir c’est aussi s’exprimer. Nous vous conseillons d’en parler, d’oser dire ce qu’il se passe. Demander de l’accueil, des conseils, du soutien. Se rendre compte peut être qu’on n’est pas seuls à vivre ça. Expérimenter des solutions qui sont celles des autres, et apprendre sur soi.

Conseil 10 :

Et pour finir, il s’agit d’être honnête avec soi autant que possible. Si la procrastination perdure, s’amplifie, fait des dégâts… Il est alors temps de vous poser la question fondamentale du sens du job que vous exercez.

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Acteur de mon bien-être au travail

Une série de capsules vidéos afin de créer le débat dans vos équipes sur le sujet du bien-être au travail

Vous êtes dirigeant, manager, chef de projet, animateur d’une communauté ?
Nous avons conçu pour vous une série de capsules vidéos afin de créer le débat dans vos équipes sur le sujet du bien-être au travail.

Animez votre réunion par un temps de qualité sur une question de fond : “Ai-je le droit de me tromper ?”, “Que signifie être bienveillant envers l’autre au travail ?”, “Quel est le sens profond de notre métier ?” ….
Diffusez l’extrait vidéo de quelques minutes, écoutez les visions de vos collaborateurs, apprenez à mieux vous connaître, et faites la démonstration concrète de votre ouverture d’esprit et volonté de bien-vivre ensemble.

> Les 16 capsules vidéo libres d’usage sont référencées sur notre playlist Youtube