Le maintien des effectifs est LE sujet du moment, se cumulant aux difficultés de recrutement et aux problématiques de motivation / d’engagement. Il n’a jamais été si complexe d’être employeur…
Et pourtant, ce contexte appelle à aller regarder ce qu’il se passe pour les individus au travail et à agir pour enrayer ces sujets souvent avec GBS (Gros Bon Sens).
Depuis plusieurs années, l’on promeut la QVT comme approche particulièrement efficace, si tant est qu’on ne la réduise pas à installer un corner gourmand ou signer un accord télétravail.
Si la QVT ne permet pas d’agir directement sur les facteurs “rémunération” et “carrière” (quoique…), elle adresse l’ensemble des autres facteurs générateurs de fidélité, ou de démission – entourés en rouge dans l’image jointe propulsée par le merveilleux loptimisme.pro.
Faisons un point tout particulier sur 2 des bulles :
L’absence de reconnaissance
L’absence de sentiment d’appartenance
A notre sens, il ne peut y avoir de réelle “absence” de ces 2 besoins, il peut y avoir par contre un sentiment de manque.
L’humain au travail est et reste un animal social. Sa sécurité psychologique est liée à son sentiment de “faire partie” d’un collectif, d’y avoir une place, d’y être respecté et reconnu pour sa valeur personnelle.
Si l’environnement a un franc rôle à jouer en la matière, le besoin d’inclusion est également un sujet très personnel qui appelle notre propre sentiment de sécurité. Et nous sommes assez peu éduqués à ce besoin universel et profond, qui – lorsqu’il est satisfait – confère non seulement l’assurance nécessaire pour offrir son plein potentiel à la performance collective mais génère un plaisir inestimable qui peut contrebalancer nombre de contraintes.
Si aborder ce sujet avec vos équipes vous intéresse, organisez chez vous une “causerie” :
Cultiver son sentiment d’appartenance
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