En pleine phase de lancement d’une promotion inter-entreprises de formation à la QVT, nous sommes connectés à différents niveaux de maturité par rapport au sujet.
De grâce, nos prospects et clients ne sont que des Entreprises Humanistes, où l’envie de « prendre soin » des parties prenantes est au cœur de la culture et effective dans les décisions, actes et comportements du quotidien.
Clairement, ces Entreprises font toutes « de la QVT » sans en avoir posé le nom. Actrices responsables, elles sont engagées dans une démarche RSE.
L’écoute des motivations et attentes des futurs participants à notre parcours de formation permet de sonder le prisme de lecture de chacun.e : une variété impressionnante, à l’image de l’envergure de notre belle discipline !
S’il y a bien un angle qui n’est pas oublié, c’est que la QVT met la qualité du travail réalisé au cœur, et le borde de ses conditions d’exercice. Ce sont bien ces 2 aspects, interagissant en cercle vertueux, qui permettent d’analyser les pratiques et d’y trouver les actions de protection et d’amélioration.
La QVT, c’est « bien faire » son travail, et « y être bien ». Jamais l’un sans l’autre, si l’on s’inscrit dans une perspective humaine et durable de la vie au travail.
Merci à BENOIT SERRE pour cet article, et ce partage qui recentre le sujet et mène à la réflexion, notamment sur le besoin de perception de l’utilité du travail réalisé, et de la présence des ressources nécessaires pour le mener à bien.
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La QVT est un univers obscur et opaque pour la plupart des Travailleurs, et même des dirigeants, DRH et IRP. Il faut dire que la définition officielle fixe l’objectif plus que ne décrit le concept, et que sur le terrain, la QVT est bien souvent réduite à la mise en œuvre d’actions de bien-être.